Vous ne voulez surtout pas donner une majorité hégémonique à Emmanuel Macron ? Alors votez David Dallois et Justine Singeot, les 12 et 19 juin prochains !
Notre binôme est paritaire : il représente les hommes et les femmes de la 1ère circonscription du Cher.
Notre famille politique est incontestablement enracinée dans le Cher, comme en témoignent les résultats des dernières élections municipales, sénatoriales, départementales et régionales. Or, pour ne pas être déconnecté du terrain, ce maillage territorial d’élus locaux est primordial.
Conseiller municipal puis maire d’Ivoy-le-Pré, conseiller général puis conseiller départemental du Cher, mon expérience est véritable. Je connais les problèmes quotidiens des gens car j’échange avec eux depuis fort longtemps. Or, cet ancrage local est indispensable pour « bien » voter à l’Assemblée Nationale.
Notre binôme est intergénérationnel : il mêle l’expérience et la jeunesse. Avoir deux profils différents et complémentaires me semblait logique au moment de constituer notre équipe.
Les Députés de la majorité présidentielle ne seront pas indépendants. Il faut donc des Députés de terrain pour une véritable opposition, libres et capables de dire « non » quand les décisions seront déconnectées de la vraie vie.
Vous m’avez déjà forcément croisé dans vos communes au cours de ces 20 dernières années. Je n’ai, en effet, pas attendu d’être candidat pour soutenir les initiatives locales. Et surtout, je ne suis pas revenu dans la 1ère circonscription juste pour être élu Député, puisque je ne l’ai, tout simplement, jamais quittée.
Notre binôme est géographiquement équilibré : le sud de la 1ère circonscription et le Cher nord sont représentés. Aucune moitié (ni nord ni sud) n’a été snobée pour constituer notre équipe.
Conseiller général UMP il y a plus de 10 ans et actuellement Président des Républicains du Cher, je suis fidèle à mon parti et cohérent dans mes convictions. D’autres ont parfois, sentant le vent tourner, changé de parti politique un an seulement avant une élection, juste pour être élu député. Pas moi.
On l’a vu lors du premier mandat d’Emmanuel Macron, le pouvoir est trop centralisé et bien trop éloigné des provinces, des villages et du monde rural. Mon enracinement local me permettra de porter véritablement la voix des habitants et de ceux qu’on n’entend jamais.
Une véritable « Renaissance » se fait avec de nouveaux députés (et non exactement les mêmes). Encore (et déjà) une différence entre les paroles et les actes.
Fidèlement, David Dallois, votre candidat.